Cité-jardin
L’émergence du logement social
Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, la banlieue du nord-est parisien connaît une forte croissance démographique, conséquence de la révolution industrielle. Trop souvent obligée de se loger dans des quartiers surpeuplés et insalubres, la population ouvrière est la première victime des épidémies (choléra, tuberculose).
Préoccupés par l’excessive mobilité des ouvriers, mais aussi par souci hygiéniste, quelques patrons se lancent dans la construction de cités ouvrières.
À l’initiative patronale succède l’intervention de philanthropes (notables, banquiers, rentiers, patrons, architectes…). Ces démarches font émerger la nécessité d’une intervention publique en matière de logement ouvrier.
La naissance des cités-jardins
Interpellé par le développement incontrôlé des villes, Ebenezer HOWARD, théoricien anglais, propose une alternative réfléchie et maîtrisée. Cet utopiste, visionnaire, socialiste, conceptualise les garden cities. Il élabore un projet concret de ville rationnelle et hygiéniste, située à la campagne, offrant un équilibre entre emplois et habitations, agriculture et industrie. Cette utopie urbaine est mise en œuvre dans la banlieue de Londres, à Letchworth et à Hampstead, à partir de 1904 ; puis Welwyn, en 1919.
L’un des aspects également révolutionnaires de la cité d’HOWARD est qu’elle allait à contre-courant du système de la séparation des fonctions de la ville, ramenant dans un même organisme, l’habitat, le travail, la production agricole, les études et les loisirs.
Cité-jardin de Letchworth
À Letchworth, il ne peut être édifié plus de 60 maisons par hectare. Chacune doit être entourée d’un jardin même si sa forme architecturale est assez libre.
Elle ne doit pas comporter plus de deux étages. L’ardoise est interdite pour les toits, les tuiles et le chaume préconisés.
Les cités-jardins en Île-de-France, en Seine-Saint-Denis
En 1911, le Comité Départemental des Habitations à Bon Marché de la Seine lance le premier concours de cités-jardins. Il donne lieu à de nombreuses propositions, finement étudiées et habilement dessinées, qui restent souvent à l’état de projets.
La guerre de 1914-1918 et la nécessité de reconstruction remettent au premier plan la question du logement ainsi que l’intervention des urbanistes et des architectes.
L’Office Public d’Habitation à Bon Marché du Département de la Seine (OPHBMDS) est créé en 1915. Henri SELLIER, son administrateur, conseiller général, impulse la construction d’une quinzaine de cités-jardins en banlieue parisienne.
La construction des cités-jardins du département de la Seine débute en 1912 avec la cité-jardin Chacun chez soi à Epinay-sur-Seine et s’interrompt dans les années 1950.
Dans les premières années, les cités-jardins sont construites dans un style pittoresque, directement inspiré du modèle anglais, faisant référence à la campagne. Les projets se composent en majorité de pavillons.
La dimension économique ainsi que le besoin croissant de logements participent à l’évolution des formes urbaines des cités-jardins. L’augmentation du coût du foncier et de la construction entraîne l’augmentation de la part de logements collectifs par rapport aux pavillons.
La longue phase de construction de la cité du Pré-Saint-Gervais illustre cette évolution vers plus de rationalité économique. Le choix de l’habitation en hauteur se confirme avec le projet de la cité de la Muette, à Drancy (1933-1935), qui marque une rupture avec la cité-jardin pittoresque et une transition vers les grands ensembles.
Cités-jardins de Suresnes et du Pré-Saint-Gervais
Il s’agit « de pourvoir en logements les milliers de familles qui contractent, dans les taudis empuantis de nos faubourgs et de la banlieue, les germes de toutes les maladies sociales, physiques et morales. »
Henri SELLIER – Conseil général de la Seine – 1er janvier 1919
Architecture / Urbanisme / Paysage / Vie sociale de la cité-jardin de Stains
La cité-jardin de Stains est réalisée entre 1921 et 1933 par les architectes Eugène GONNOT et Georges ALBENQUE.
Prévue pour accueillir des familles travaillant dans les usines environnantes (Saint-Denis, Le Bourget, La Courneuve, Stains), la cité-jardin compte environ 1640 logements dont 472 en pavillons. L’arrivée d’une nouvelle population transforme le bourg rural qu’est Stains en banlieue ouvrière qui voit ainsi doubler le nombre de ses habitants.
Elle est construite sur l’ancien parc du château de Stains, dont le terrain a été vendu à l’OPHBMDS à la fin du XIXe siècle.
Le projet initial est ambitieux. Il est prévu de construire une cité dotée d’équipements les plus complets (piscine, salle de culture physique, cinéma-salle de spectacle…) avec un centre dense et animé, des parties calmes et résidentielles. Le projet définitif présente des modifications. La proportion de logements individuels est inférieure à celle prévue et certains équipements, comme la piscine, n’ont pas été réalisés pour des raisons économiques.
La cité-jardin de Stains est un exemple remarquable d’architecture pittoresque, en particulier pour ses groupements pavillonnaires. La brique ou les enduits colorés, les toitures en tuiles pentues, basses, complexes à plusieurs pans, en façade pignons sont les caractères dominants.
Toute la conception du bâti, de la composition générale des volumes aux éléments de base jusqu’aux détails de couleurs et matériaux doit concourir à créer la variété et bannir la monotonie tout en créant une cohérence de style.
La cité-jardin compte ainsi 13 types de pavillons et 6 types d’immeubles collectifs différents.
Le caractère pittoresque se décline encore dans la complexité raffinée des associations autour de quelques types de fenêtres étroites ou hautes, portes d’entrées, porches cintrés…, auxquels s’ajoutent les contrastes de couleurs ou de matériaux à texture qui accrochent la lumière.
Le plan général forme une trame en toile d’araignée. De larges avenues rectilignes rayonnent autour de la place centrale. Les rues, plus étroites, pour certaines curvilignes, sont bordées de pavillons. Des chemins, nommés sentes et venelles, se faufilent entre les jardins pour atteindre les cœurs d’îlots, de grands espaces verts accessibles uniquement à pied dont certains sont des jardins familiaux pour les locataires des collectifs.
La cité-jardin s’appuie sur un plan d’urbanisme où les équipements sont centralisés autour de la Place Marcel-Pointet. L’avenue Paul-Vaillant-Couturier est une artère commerçante, lieu d’affluence, réservant aux plus petites avenues et rues le côté résidentiel, moins passant. La hiérarchie entre les espaces est renforcée par l’implantation du végétal (arbres, haies, pelouses).
Le végétal et, d’une manière plus large, le paysage apparaissent comme une constituante des cités-jardins, plus qu’un simple élément du décor urbain.
À Stains, la plantation des arbres participe par leur positionnement sur la voirie à la hiérarchisation des voies et crée des ambiances. D’autres arbres, isolés, soulignent la composition urbaine.
Voir le projet de valorisation de la Cité-jardin : Concours EUROPA NOSTRA 2015, prix du patrimoine culturel de l’Union Européenne
La surface totale de la cité-jardin, 28 hectares, se répartit ainsi :
- 24,5 % d’espace public (voirie, place, clos)
- 68,5 % d’espace privatif (pavillons avec leurs terrains et collectifs ; seul un quart de cette surface est occupé par les collectifs.)
- 7 % de cœur d’îlots
«Tout en tenant compte des conditions économiques et morales de la vie urbaine, il est possible d’assurer à la population laborieuse, manuelle et intellectuelle un logement présentant le maximum de confort matériel, des conditions hygiéniques de nature à éliminer les inconvénients des grandes villes et des modes d’aménagement esthétiques contrastant singulièrement avec la hideur des formules antérieurement pratiquées.» – Henri SELLIER – Conseil général de la Seine – 1er janvier 1919
Protection, rénovation, valorisation
Peu entretenues, parfois dégradées, les cités-jardins sont de plus en plus dépréciées au cours des années 1960. Toutefois, la reconnaissance des qualités des cités-jardins par les architectes, urbanistes et historiens de l’architecture permet la protection de certaines d’entre elles.
La valeur de la cité-jardin de Stains a été reconnue par son inscription au titre des sites en 1976, comme un ensemble architectural, urbain et paysager remarquable, témoin des premières politiques publiques en matière de logement social. Elle vient de recevoir le label « Patrimoine d’intérêt régional » par la Région d’Ile-de-France.
En 2005, Seine-Saint-Denis Habitat, propriétaire de la cité-jardin de Stains, s’engage avec ses partenaires dans un ambitieux projet de réhabilitation (logements, façades, cœurs d’îlots, espaces communs) complété par le réaménagement des espaces publics porté par la communauté d’agglomération Plaine Commune. La protection permet de garantir une attention particulière pour une réhabilitation de qualité, adaptant les préoccupations historiques et esthétiques aux besoins des locataires.
La protection et la rénovation sont relayées par un travail de mise en valeur patrimoniale et touristique qui débute par une réappropriation de la cité-jardin par ses habitants. Cette valorisation, initiée par les collectivités, porte une grande attention à l’histoire et à la mémoire de ce quartier.
Valorisation touristique et patrimoniale
- Le GRP Ceinture verte
- Le parcours ligne découverte des bus 239 et 253
- Guide de visite libre de la cité-jardin de Stains
- Le parcours vélo patrimoine Stains – Plaine Commune
- Le PR5 : parc départemental Georges Valbon
Brochure du Conseil général de la Seine-Saint-Denis sur l’atlas du patrimoine
Mise en réseau des cités-jardins
Au début du XXe siècle, période de création des premières cités-jardins, les questions du logement, de l’urbanisme sont au centre des débats. Les expositions universelles alimentent ces réflexions. C’est l’occasion de voyages d’étude, d’échanges entre architectes, urbanistes, élus, …
En France, le Musée Social, fondation privée investie dans les questions sociales, s’approprie et diffuse le concept de cité-jardin.
Dans cet esprit, c’est tout naturellement qu’aujourd’hui, la cité-jardin de Stains se replace au cœur d’un ensemble de cités-jardins, avec comme volonté la mise en réseau de cités-jardins, au niveau régional, mais plus largement national, voire européen.
Par un partage d’expériences, des échanges entre ces différentes cités-jardins, l’objectif poursuivi est de développer la reconnaissance de ce patrimoine remarquable, concept original, qui peut encore aujourd’hui servir de modèle pour les futures constructions.
Liste des villes de France ayant une cité-jardin
Accédez à la carte interactive des cités-jardins d’Île-de-France
Ile-de-France
| Ile-de-France – Seine-Saint-Denis
| Ile-de-France – Seine-Saint-Denis – Plaine Commune
| Autres villes
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Liens web
Comité départemental du tourisme (CDT 93)
Office de tourisme de Saint-Denis – Plaine Commune
La boutique Mémoires de Cité-jardin
Depuis 2008, le projet de valorisation de la cité-jardin de Stains a sa vitrine, dans l’ancienne quincaillerie de la cité-jardin. C’est la boutique « MEMOIRE DE CITE-JARDIN ».
Horaires : Mercredi 9h-12h30/13h30-18h / Jeudi : 14h-18h / Vendredi : 14h-18h et tous les 1er samedis du mois de 14h à 18h.
Présentation générale du lieu et du contexte de création
La valorisation de la cité-jardin de Stains se situe dans le cadre de la mise en œuvre du schéma touristique de la communauté d’agglomération Plaine Commune, en articulation avec les orientations du pôle touristique régional.
Mémoires de cité-jardin est devenu un projet largement partenarial, en témoignent la diversité des acteurs mobilisés : locaux (services municipaux de la ville de Stains, Plaine Commune), départementaux (Seine-Saint-Denis habitat, Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis) et régionaux (association régionale des cités-jardins d’île-de France).
Cet espace s’inscrit dans un circuit global de valorisation touristique du territoire intercommunal. L’objectif est d’encourager visiteurs et habitants à découvrir l’ensemble du territoire : de la basilique de Saint-Denis, au musée d’art et d’histoire et au “202” des Entrepôts et Magasins Généraux de Paris en passant par le Stade de France sans oublier les Puces de Saint-Ouen ou le musée de l’Air et de l’Espace au Bourget et toutes les autres richesses fluviales, architecturales, vertes du nord-est parisien. A ce titre, Plaine Commune a obtenu en 2014 le label « Villes et Pays d’art d’histoire » pour l’ensemble de son territoire.
Au fil des années, cet espace ouvert trois jours et demi par semaine a accueilli environ 9000 visiteurs grand public et stanois.
Depuis 2006, une à deux actions artistiques ont été menées autour du patrimoine, d’abord dans le cadre de la rénovation urbaine puis du projet de valorisation de la cité-jardin.
Depuis le 1er janvier 2016, « Mémoires de cité-jardin » est devenu le siège social de l’association régionale des cités-jardins d’Île-de-France et le bureau de son animatrice. Il est ainsi devenu un lieu de référence, moteur, permettant d’inscrire la cité-jardin de Stains dans une dynamique plus large de mise en réseau de ce patrimoine à l’échelle de la région.
Le local remplit donc actuellement une triple fonction :
- Lieu d’animation du quartier
- Siège social de l’association
- Élément du futur Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine (CIAP) en réseau mis en œuvre par Plaine Commune dans le cadre du label « Villes et Pays d’art et d’histoire »
Visites, actions, rencontres, fonds de ressources
Ce local constitue un lieu de visites, de rencontres, d’ateliers, d’expositions et d’animations pour la valorisation de la cité-jardin.
« Mémoires de Cité-jardin » propose une exposition permanente présentant l’histoire des cités-jardins et plus particulièrement de celle de Stains. Elle apporte des éléments de découverte en termes d’architecture, d’urbanisme, de paysage. Forte de son passé, inscrite dans le présent et tournée vers l’avenir, elle se veut le reflet de la vie de la cité-jardin.
Des visites/balades sont proposées à l’attention du grand public, des scolaires, associations et autres groupes constitués. Elles sont programmées en partenariat avec l’Office de Tourisme de Plaine Commune et sont menées par des guides touristiques et/ou l’animatrice de l’association régionale des cités-jardins d’Île-de-France.
Concernant les scolaires et spécialistes, les visites peuvent être construites sur mesure en fonction des projets de classe et du public ciblé.
« Mémoires de cité-jardin », lieu de ressources
Pour compléter votre connaissance sur les cités-jardins, l’espace propose des divers documents en consultation sur place : mémoires et recherches d’étudiants, entretiens réalisés avec des habitants de la cité-jardin de Stains, ouvrage concernant d’autres cités-jardins (nationales et européennes), documents d’archives, mais aussi des ouvrages de référence en matière de tourisme en banlieue et de logement social.
Préserver et transmettre
À la qualité formelle et historique reconnue de la cité-jardin de Stains, s’ajoute une valeur d’usage actuelle de la cité-jardin, et la mémoire des habitants qui l’HABITENT.
Un travail est effectué pour préserver ce patrimoine immatériel, des témoignages d’habitants sont recueillis, permettant de voir, percevoir, transmettre ce qu’est la vie à la cité-jardin.
Des extraits d’entretiens sont présentés dans l’exposition permanente, illustrés par des documents provenant d’archives personnelles d’habitants ainsi que des archives municipales.
Un film a été réalisé par Maud LAMBERT à partir d’interviews filmés d’habitants, «Paroles de Stains – des habitants de la cité-jardin».
Le fond d’archives orales s’enrichit au fur et à mesure des rencontres. Si vous souhaitez nous faire partager vos histoires, votre histoire de la cité-jardin, n’hésitez pas à prendre contact avec la chargée de projet.
Et si vous êtes en possession de documents permettant d‘illustrer des périodes de vie de la cité-jardin, ils seront les bienvenus pour développer ce fond d’archives et participer à la connaissance et valorisation de la cité-jardin.
L’association régionale des Cités-jardins d’Île-de-France
Le 14 octobre 2015, au Musée d’histoire Urbaine et Sociale (MUS) de la ville de Suresnes a été créé l’Association régionale des cités-jardins d’Ile-de-France dont le siège social est depuis le 1er janvier 2016, la boutique Mémoires de cité-jardin.
La création de cette association est l’aboutissement de la démarche engagée depuis maintenant dix ans par le réseau des cités-jardins d’Ile-de-France autour de la préservation, la valorisation et la promotion de ce patrimoine remarquable.
Cette étape de structuration est historique pour le réseau qui grâce à l’association, structure porteuse et officielle a permis de mettre en œuvre des projets communs : rencontres et partages d’expériences autour des problématiques de rénovation et de préservation du patrimoine; actions et animations artistiques, culturelles, patrimoniales, touristiques; stratégie de communication; recherches de financements et projet de labellisations à l’échelle internationale…
L’association réunit différents partenaires sur la région : des collectivités, des bailleurs sociaux, des comités départementaux du tourisme, des offices de tourisme, des établissements d’enseignements supérieurs et des habitants souhaitant tous travailler ensemble afin de préserver, de valoriser et de promouvoir ce patrimoine exceptionnel.
Pour en savoir plus…
Le Conseil d’administration est composé de 15 membres représentant les trois départements de la petite couronne parisienne : Hauts-de-Seine (92) / Seine-Saint-Denis (93) / Val-de-Marne (94).
Ses membres sont des élus, des techniciens, des enseignants-chercheurs et des habitants intéressés par les trois champs d’interventions de l’association : la préservation, la valorisation et la promotion du patrimoine des cités-jardins.
Vous êtes un élu, un professionnel, un touriste, un habitant, un féru de patrimoine…
Vous vous intéressez aux cités-jardins d’Ile-de-France ou d’ailleurs, vous souhaitez vous impliquer ? Rejoignez-nous !
Pour en savoir plus
Inscription à la newsletter
Contacts :
Noëmie Maurin-Gaisne
Mémoires de cité-jardin
28 avenue Paul Vaillant Couturier
93240 Stains
01 58 69 77 93 / 06 49 60 33 28
Il était une fois le réseau des cités-jardins d’Ile-de-France…
- Le 27 janvier 2015
Les membres du réseau réunis en Assemblée plénière à Stains ont validé l’orientation visant à transformer le réseau en association loi 1901. …transformé, comme par magie, en association !
En présence de M. Christian DUPUY, Maire de Suresnes, M. Patrick BRAOUEZEC, Président de la Communauté d’agglomération Plaine Commune et M. Azzedine TAIBI, Maire de Stains, le réseau des cités-jardins d’Ile-de-France s’est transformé en association.
La création de cette association est une étape importante pour la préservation, la valorisation et la promotion de ce patrimoine au sein de la métropole du Grand Paris mais également pour tisser des liens à l’échelle nationale et internationale, ce patrimoine s’étant diffusé partout dans le monde, afin de constituer un véritable réseau d’acteurs, d’élus, de techniciens, d’habitants et de visiteurs autour de ce patrimoine remarquable.
- Dès 2012
Les membres du réseau ont lancé leur initiative commune « Le Printemps des cités jardins d’Ile-de-France » proposant, du mois de mars au mois de juin, des actions culturelles, des animations artistiques, des visites guidées et bien plus encore dans l’ensemble des cités-jardins de la région.
- En 2009
Un réseau des cités-jardins s’est constitué dans l’objectif de se rencontrer et de partager les expériences en matière de préservation, de valorisation et de promotion de ce patrimoine remarquable commun à plusieurs villes de la région.
Voir aussi
Ludothèque
Maison du Temps Libre, 30-34 avenue George Sand 93240 Stains – 01 71 86 33 47 La ludothèque de la Maison du Temps Libre est…
Associations culturelles
Aresport Danse et sport 1 allée Francis Carco 93240 Stains Mail : aresport@hotmail.com Atelier d’arts stanois Dessin et sculpture 1, avenue Paty 93240 Stains Mail…
Les artistes de Stains
La ville de Stains, membre de la communauté d’agglomération Plaine Commune, fait partie du territoire de la culture et de la création du Grand Paris.…
Les médiathèques
L’élargissement de notre horizon au territoire de Plaine Commune signifie aussi d’ouvrir l’offre culturelle de tout ce qui se fait sur ce territoire aux habitants…