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Projo night/cinéma – La passion du 7e art

Projo Night, un festival de courts-métrages se déroulera samedi 27 janvier à 18h30 à l’Espace Paul-Éluard. Les réservations sont d’ores et déjà ouvertes.

Sadio Niakate, jeune Stanois réalisateur, scénariste et comédien s’est lancé le défi de faire de son projet un rendez-vous incontournable ouvert à tous, aussi bien aux amateurs qu’aux professionnels. « Pour cette seconde édition, nous aurons cinq réalisateurs. Certains m’ont déjà dirigé lors de tournages, les autres, j’ai découvert leurs productions avec plaisir et j’espère que le public en prendra également.

Le but de ce rendez-vous est de permettre aux professionnels du métier de se rencontrer. Mais aussi au public de poser toutes ses questions. Et enfin de passer une belle soirée de cinéma », invite Sadio qui annonce également « une prestation musicale en prime ».

© Dragan Lekic

AU PROGRAMME

Djigui Diarra présentera Malgré eux, un drame social qui dessine un récit dans le quartier des Rosières. Lors d’une intervention de police, un agent tire avec son flash-ball sur Madame Boumedienne. Mory, Toussaint et Ali, le fils de Madame Boumedienne, tentent de continuer à vivre normalement.
Ensuite, les spectateurs visionneront le travail d’Elia Merlot Tu m’fais perdre la boule, une comédie durant laquelle Ryta et sa famille emménagent dans un appartement en cité HLM. Cette dernière est fascinée par Kaïs, un jeune de son âge, habitant dans son immeuble, passionné par la pétanque. Pour se rapprocher de lui, elle décide d’apprendre à y jouer.

Lounis OK nous offrira 13 mois/13 ans, un drame au thème bouleversant : Eléonore confond son violeur, Antoine, devant la justice. Dans Première vague de Berni Melnado, nous suivrons Aymen un jeune banlieusard de 27 ans qui est toujours de bonne humeur et surtout sa méthode pour ne pas succomber à tous ces récents problèmes.

Enfin, Victoria Neto projettera Pema, le drame de Murphy qui ne trouve pas la force d’affronter sa mère et de lui avouer son mal-être. Des histoires riches et intrigantes à ne pas manquer.

R.H.

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